Israel strikes Syria, Lebanon following rocket attacks, military says

Les dernières attaques d’Israël contre les pays voisins surviennent dans un contexte de crainte d’un conflit plus large au Moyen-Orient.

Israël a mené des frappes contre des infrastructures militaires en Syrie et au Liban, a déclaré son armée, alors que l’offensive du pays contre le Hamas pourrait dégénérer en un conflit plus large au Moyen-Orient.

Des avions de combat israéliens ont frappé des lance-roquettes en Syrie et des cibles du Hezbollah au Liban en réponse à des tirs de roquettes antérieurs sur le territoire israélien, a annoncé lundi l’armée israélienne.

Les responsables militaires israéliens n’ont pas fourni plus de détails sur les attaques, notamment sur les victimes possibles. Al Jazeera n’a pas pu confirmer de manière indépendante les attaques ni leur impact.

L’armée israélienne est engagée dans des combats transfrontaliers avec le groupe armé libanais Hezbollah et a lancé des raids aériens répétés sur la Syrie depuis le lancement de sa guerre contre le Hamas.

Les États-Unis ont également mené des attaques contre la Syrie en réponse à une forte augmentation des attaques à la roquette et aux drones contre leurs forces dans le pays ainsi qu’en Irak, qu’ils ont imputées à des groupes mandataires soutenus par l’Iran.

Jeudi, le Pentagone a déclaré avoir mené des frappes sur deux installations en Syrie utilisées par le Corps des Gardiens de la révolution islamique iraniens et des groupes soutenus par l’Iran après que le président Joe Biden s’est engagé plus tôt à répondre aux attaques contre le personnel américain.

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a mis en garde contre une escalade régionale si Israël continue sa guerre contre le Hamas, déclarant plus tôt ce mois-ci que « les musulmans et les forces de résistance deviendront impatients et que personne ne pourra les arrêter ».

La semaine dernière, le président russe Vladimir Poutine a averti que le conflit pourrait s’étendre « au-delà des frontières du Moyen-Orient » si Israël ne mettait pas fin à ses bombardements sur Gaza.

Le conseiller américain à la sécurité nationale, Jake Sullivan, a déclaré dimanche dans une interview à ABC News qu’il existait un risque « réel » que la guerre ne dégénère en un conflit régional plus large.

Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a déclaré samedi sur CNN que son pays ne voulait pas voir la guerre s’étendre et qu’il était « totalement faux » de la part de Washington de blâmer Téhéran pour les attaques contre ses forces sans en apporter la preuve.

L’Iran, qui soutient à la fois le Hamas et le Hezbollah, a nié tout rôle dans les attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre. Les responsables américains et israéliens ont déclaré qu’ils n’avaient trouvé aucune preuve de son implication.

Les responsables du gouvernement iranien ont cependant félicité le groupe armé palestinien, qualifiant l’attaque surprise de victoire de « la résistance antisioniste ».

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