Shopping, queuing for bread, looking for water: Life in Gaza City continues

Ville de Gaza, Gaza – Une autre nuit blanche, une autre matinée lourde alourdie par les horribles conséquences des attaques israéliennes.

Les forces israéliennes ont bombardé la bande de Gaza assiégée depuis les airs, la terre et la mer depuis le 7 octobre, tuant des milliers de personnes et provoquant des destructions généralisées.

Selon le bureau des médias du gouvernement à Gaza, plus de 18 000 tonnes d’explosifs ont été larguées sur le territoire sous blocus depuis le début de l’assaut israélien.

Au cours des trois dernières semaines, « chaque kilomètre à l’intérieur de la bande de Gaza a reçu environ 50 tonnes d’explosifs », a indiqué le bureau des médias.

Plus de 8 500 Palestiniens ont été tués, dont plus de 3 500 enfants, selon les autorités palestiniennes. 1 870 autres personnes sont portées disparues sous les décombres, dont 1 020 enfants.

Les bombardements israéliens ont rasé des quartiers entiers et ciblé camps de réfugiés densément peuplés.

Dans le camp de réfugiés de Shati (Plage), à ​​l’ouest de la ville de Gaza, Ahmad Ghaben se trouvait sur un site bombardé où se trouvaient autrefois des maisons.

«Toute la zone a disparu», a-t-il déclaré. « Des jeunes et des vieux ont été tués. La famille d’Abou Mohammed al-Jabari, la famille d’Abou Mohammed Abdelsamad… sont toutes parties. La famille Hassouneh comptait des personnes âgées malades. Trois missiles sont tombés sur nous. Est-ce qu’ils [Israel] tu penses que nous sommes une armée ? Nous sommes tous des civils ici.

Dans les supermarchés, les étagères vides sont devenues monnaie courante après qu’Israël a imposé un siège total sur le territoire, limitant sévèrement l’approvisionnement en eau, nourriture, carburant et électricité, et limitant l’accès à la connectivité du réseau.

Pourtant, les rues de la ville de Gaza, malgré les décombres des bâtiments détruits, ne sont pas désertes. Les habitants continuent de faire leurs courses, cherchant des produits de première nécessité comme de l’eau potable et du pain, et rejoignant de longues files d’attente devant les boulangeries.

D’autres cherchaient des bonbonnes de gaz pour cuisiner, et certains habitants installaient leurs marchandises au bord de la rue pour les vendre.

Le message est clair : les habitants de Gaza sont conscients que la vie continue et sont déterminés à la vivre.

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